Cap au Nord Fureur de lire 2023

Service de la lecture publique belge FWB

Embarquez vers le Nord en quête de dépaysement avec des thrillers à vous glacer le sang, des explorations de terres lointaines…

Islande, Suède, Norvège… mais aussi polar, introspection, fantasy…

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Le Rouge vif de la rhubarbe

Publication:

Auteur(s): Auður Ava Ólafsdóttir

Éditeur(s): Zulma

Traducteur(s): Catherine Eyjólfsson

Résumé :

Souvent aux beaux jours, Ágústína grimpe sur les hauteurs du village pour s’allonger dans le carré de rhubarbe sauvage, à méditer sur Dieu, la beauté des nombres, le chaos du monde et ses jambes de coton. C’est là, dit-on, qu’elle fut conçue, avant d’être confiée aux bons soins de la chère Nína, experte en confiture de rhubarbe, boudin de mouton et autres délices. Singulière, arrogante et tendre, Ágústína ignore avec une dignité de chat les contingences de la vie, collectionne les lettres de sa mère partie aux antipodes à la poursuite des oiseaux migrateurs, chante en solo dans un groupe de rock et se découvre ange ou sirène sous le regard amoureux de Salómon. Mais Ágústína fomente elle aussi un grand voyage : l’ascension de la « Montagne », huit cent quarante-quatre mètres dont elle compte bien venir à bout, armée de ses béquilles, pour enfin contempler le monde, vu d’en haut…

L’avis du bibliothécaire

Aaaaahhh, l’Islande avec ses paysages sauvages, ses aurores boréales et les noms imprononçables de ses romanciers ! Avec Audur Ava Olafsdottir, on touche à quelque chose de poétique, de délicat, composé de moments du quotidien, avec, en toile de fond, des sujets souvent sensibles comme l’homosexualité dans « L’exception », le patriarcat dans « Miss Islande » et l’abandon et le handicap dans Le rouge vif de la rhubarbe, ce roman qui nous intéresse plus particulièrement aujourd’hui. Agustina, conçue avec un homme de passage dans un champ de rhubarbe, a des jambes de coton, une mère partie étudier les oiseaux en Afrique et des rêves plein la tête. À Nina, spécialiste du boudin noir qui l’élève, elle confie son ambition très sérieuse, malgré son infirmité, de gravir, armée de ses béquilles, les 844 mètres de la montagne de son village. Jeune fille précoce qui s’attache beaucoup trop aux détails, elle est persuadée, qu’au sommet, ils deviendront si minuscules qu’ils n’auront plus d’importance. Olafsdottir nous invite avec beaucoup de douceur à nous immerger dans son univers, avec ces paysages grandioses, faits de plages de sables noirs, de montagnes, d’hivers très longs plongés dans le noir mais aussi avec des personnages souvent haut en couleurs, cabossés, drôles et attachants.
Un conseil des bibliothèques et médiathèque francophones d’Uccle.

La société des jeunes pianistes

Publication:

Auteur(s): Ketil Bjornstad

Éditeur(s): Le Livre de Poche, Éditions JC Lattès

Traducteur(s): Jean-Baptiste Coursaud

Résumé :

Ce roman nous plonge dans l’univers de jeunes pianistes, étudiant à Oslo, à la fin des années 60. Aksel Vinding, tombe fou amoureux de la prodige Anja Skoog.

L’avis du bibliothécaire

Si vous avez aimé le film Whiplash, vous aimerez sans doute ce roman initiatique dans lequel un groupe d’ados passionnés par la musique tentent le concours du Jeune Maestro.
Un coup de cœur du Réseau louviérois de lecture publique.

La dernière frontière

Publication:

Auteur(s): Volodia Petropavlovsky

Éditeur(s): Le Mot et Le Reste

Résumé :

À vingt et un an, l’auteur part pour une traversée solitaire de l’Alaska en canoë. Il suit le cours de la Tanana puis du Yukon jusqu’à la mer de Béring, à 2 000 kilomètres de son point de départ. Sur cet itinéraire peu cartographié, les bivouacs ne sont jamais sûrs, qu’ils soient en lisière de forêt, à la merci des ours, ou chez les habitants, adeptes de beuveries intenses sous le ciel flamboyant des jours polaires. Au-delà de ses représentations de la Dernière Frontière, de Jack London au National Geographic, l’auteur découvre au contact des Natifs leur culture et un territoire fascinant. Ce récit généreux, empreint d’humour, s’ouvre à l’autre en nous plongeant dans l’inconnu.

L’avis du bibliothécaire

Les habitués du magazine Grands reportages auront reconnu le nom de journaliste toujours en quête d’aventures. Né au bord de la Loire, il sera toujours attaché à l’eau. On ne s’étonnera pas de le retrouver dans un périple en canoë à travers l’Alaska.
Une recommandation de la bibliothèque de Malmedy.

LoveStar

Publication:

Auteur(s): Andri Snaer Magnason

Éditeur(s): J'ai Lu, Zulma

Traducteur(s): Eric Boury

Résumé :

« Peu de temps après que les mouches à miel eurent colonisé Chicago, les papillons monarques furent saisis d’un étrange comportement. […] Au lieu d’aller vers le sud rejoindre leurs quartiers d’hiver, ils se dirigèrent vers le nord. » C’est ainsi que s’ouvre le roman, fable imaginative et pourtant étrangement familière, tenant à la fois de Calvino et des Monty Python. Face à la soudaine déroute de toutes sortes d’espèces volantes, le génial LoveStar, vibrionnant et énigmatique fondateur de l’entreprise du même nom, invente un mode de transmission des données inspiré des ondes des oiseaux, libérant d’un coup l’humanité, pour son plus grand bonheur, de l’universelle emprise de l’électronique. Et développant au passage quelques applications aussi consuméristes que liberticides… Avec des hommes et des femmes ultra connectés payés pour brailler des publicités à des passants ciblés, le système ReGret, qui permet « d’apurer le passé », ou le rembobinage des enfants qui filent un mauvais coton. Autre innovation, et pas des moindres, en faveur du bonheur humain : les âmes soeurs sont désormais identifiées en toute objectivité par simple calcul de leurs ondes respectives. Quand Indriði et Sigríður, jeunes gens par trop naïfs et sûrs de leur amour, se retrouvent « calculés », ils tombent des nues : leur moitié est ailleurs. Les voilà partis, Roméo et Juliette postmodernes contrariés par la fatalité, pour une série de mésaventures cocasses et pathétiques, jusqu’à ce que leur route croise celle de LoveStar lui-même, en quête de son ultime invention…

L’avis du bibliothécaire

Un des rares romans islandais pour adolescents et un des rares romans de science-fiction. Souvent demandé en lecture scolaire.
Un roman chaudement conseillé par la bibliothèque de Verviers.

Le Policier qui rit

Publication:

Auteur(s): Maj Sjöwall, Per Wahlöö

Éditeur(s): Rivages

Traducteur(s): Michel Deutsch

Résumé :

Par une pluvieuse soirée de novembre, tous les passagers d’un autobus sont massacrés au fusil mitrailleur. Jamais la Suède n’avait connu pareille tuerie, et l’opinion publique s’affole. Parmi les neuf victimes, un flic que Beck connaissait. Que faisait-il dans ce bus, à cette heure ? D’après sa compagne, il était surchargé de travail, mais Beck sait bien, lui, qu’il était pratiquement en congé … L’identification des victimes, puis l’étude minutieuse de leur passé, apportent peu à peu des indices, et comme souvent, derrière la façade lisse des apparences, ce sont des réalités sordides qui émergent.

L’avis du bibliothécaire

Stockholm sous la pluie et la neige. Plusieurs morts découverts dans un bus à double étage. L’équipe du commissaire Martin Beck galère à trouver des pistes et des indices pour retrouver la piste du tueur. Pire encore : un de leurs collègues fait partie des victimes. 4e roman de la série (qui peut sans souci se lire indépendamment), « Le policier qui rit » est un roman de la lenteur. On patiente avec les enquêteurs qui progressent difficilement, accumulant les pièces du puzzle. Un excellent roman policier d’atmosphère et de caractères.
Coup de cœur du Service de la Lecture publique.

L’Odyssée de Sven

Publication:

Auteur(s): Nathaniel Ian Miller

Éditeur(s): Buchet Chastel

Traducteur(s): Mona de Pracontal

Résumé :

Sven a eu bien des surnoms : Stockholm Sven ou encore Sven le borgne. Il raconte son histoire. En 1916 en Suède, lassé de sa vie et de son travail sans intérêt, il décide de rejoindre le Spitzberg, un archipel de l’Arctique. A la suite d’un accident, il se retrouve défiguré. Il pense que c’est un signe du destin et qu’il doit vivre en ermite. Il se met en quête de sa retraite. Premier roman.

L’avis du bibliothécaire

Sven Ormson est un pauvre type incapable de garder un travail qui finit en désespoir de cause par devenir la nounou de ses neveux. Rien ne le passionne réellement à part la lecture des récits d’explorations arctiques qui nourrissent ses fantasmes de voyages. Lassé d’une vie sans perspectives à Stockholm, Sven embarque pour le Spitzberg, une île norvégienne située dans le Svalbard. Là-bas, la vie y est rude, la nuit semble interminable et le scorbut fait des ravages. Après un terrible accident de mine qui le privera d’un œil, Sven, désormais gueule cassée, recherche la solitude. Mais comme dans de nombreux aspects de sa vie, il y échouera lamentablement. Car même dans son fjord loin de tout, il a finalement rarement été seul. Ses amis et sa famille reviennent à lui avec régularité… Inspiré d’un ermite du début du XXème siècle dont on ignore presque tout si ce n’est l’emplacement de son ancienne cabane, Nathaniel Ian Miller fait de Sven un anti-héros touchant et plein de contradictions. À la fois cocasse et philosophique, « L’odyssée de Sven » n’est pas seulement un roman d’aventure ou de survie dans le Grand Nord, c’est aussi et surtout une aventure humaine. Si vous ne craignez pas les engelures ou le scorbut, foncez ! Vous ne regretterez pas le voyage ! Un grand coup de cœur ! Un conseil des bibliothèques et médiathèque francophones d’Uccle.

Disparaître

Publication:

Auteur(s): Lionel Duroy

Éditeur(s): Mialet Barrault

Résumé :

À l’âge où il est d’usage d’envisager un repos bien mérité, Lionel Duroy a choisi d’enfourcher son vélo et de s’en aller vers ces endroits qui l’ont toujours fasciné : la Roumanie, la Moldavie, la Transnistrie… et peut-être Stalingrad. Il avait l’idée de rouler sans autre projet que de jouir du plaisir d’exister, jusqu’à s’épuiser, pour finalement passer seul et sans cérémonie de l’autre côté. Disparaître. Il l’a tenté, mais la vie est un roman qu’il a fini par écrire.

L’avis du bibliothécaire

Dans ce roman en deux parties bien différentes, Lionel Duroy nous fait découvrir un septuagénaire, en quête de solitude, de réponses et d’inspiration, tentant vainement de faire des adieux à ses enfants lors d’un dîner (1re partie) avant de se lancer dans un voyage à vélo direction Stalingrad et ses références littéraires.
Une recommandation de la bibliothèque de Malmedy.

Au nord du monde

Publication:

Auteur(s): Marcel Theroux

Éditeur(s): Plon

Traducteur(s): Stéphane Roques

Résumé :

A la frontière d’un monde perdu et glacé, Makepeace – shérif d’une ville de Sibérie vidée de ses habitants – patrouille dans les rues désertes, sauvant les livres et les armes des décombres. Cette terre froide et inhospitalière porte les stigmates de la catastrophe qui a détruit le monde alentour. Mais c’est là aussi que Makepeace découvre des preuves de survie lorsque le ciel au-dessus de sa tête est pour la première fois traversé par un avion. Alors Makepeace prend la route, à cheval, les armes à la ceinture et l’espoir chevillé au corps. Ses pas laissent derrière eux l’empreinte de nos angoisses sur la survivance de notre civilisation mais sèment l’espoir, malgré tout, de la rédemption. La quête hantée et bouleversante d’un personnage qui explore, à travers un monde dévasté, le genre humain et la possibilité de sa fin. Au bout de ses pas, de son souffle, et de sa force, la fable renaîtra ou expirera avec Makepeace.

L’avis du bibliothécaire

Quand l’avenir,même au Nord, devient improbable, il faut plus que du courage à l’héroïne pour continuer à survivre dans un monde dévasté. La crise climatique a eu lieu : morts, territoires contaminés, migrations, famines, violences en tous genres… la vie reprendra-t-elle ? Tour à tour récit d’aventure, western sibérien, quête d’humanité, ce roman, datant de 2009, reste glaçant d’actualité, très pessimiste et revigorant à la fois.
Une recommandation de la bibliothèque de Malmedy.

Là où sont les oiseaux

Publication:

Auteur(s): Maren Uthaug

Éditeur(s): Gallmeister

Traducteur(s): Marina Heide, Françoise Heide

Résumé :

Au large de la Norvège se dresse, inébranlable, le phare de Kjeungskjær. Coupés du monde, les habitants de cette contrée soumise aux lois de la nature vivent dans un profond isolement. Johan rêve de fuir vers l’Amérique avec la belle Hannah, son premier amour. Mais pour subvenir au besoin de sa vieille mère, le jeune homme devient le gardien du phare et prend pour épouse la fille du pasteur, Marie. Rapidement, Marie met au monde deux enfants, Darling et Valdemar. Seulement ici, les liens familiaux sont des chaînes qui, une fois brisées, libèrent la folie de chacun. Les années s’écoulent, épuisantes, au gré de féroces tempêtes. Johan, Darling, Marie… les apparences sont trompeuses et, à mesure que le temps passe, de sombres désirs se réveillent.

L’avis du bibliothécaire

Attention, huis-clos glaçant ! Plantons le décor : un phare rouge balayé par les vents, frappé par la mer déchaînée et isolé du reste du monde une partie de l’année. Dans cet endroit loin de tout vit une famille empêtrée dans ses secrets… Chaque protagoniste de cette sombre histoire va tour à tour se confier et nous dévoiler ses pensées les plus intimes… L’abominable monte d’un cran à mesure que les pages se tournent. Peu à peu, toutes les pièces de ce puzzle sordide se mettent en place… L’autrice Maren Uthaug s’empare avec brio des rumeurs locales, entendues pendant son enfance pour nous livrer ce roman noir que même la lumière puissante du phare ne parvient pas à sortir de l’obscurité. Elle décortique les relations humaines et pointe sans pitié les conséquences des mensonges des parents sur leurs enfants.
Un conseil des bibliothèques et médiathèque francophones d’Uccle.

Dernier hiver

Publication:

Auteur(s): Hildur Knútsdóttir

Traducteur(s): Jean-Christophe Salaun

Résumé :

Quelques semaines se sont écoulées depuis que les aliens ont envahi l’Islande et massacré l’immense majorité de ses habitants. Combien sont-ils encore à tenter de survivre ? Difficile à dire… Bergljót et son père sont toujours sur les îles Vestmann, à la recherche d’un moyen pour retrouver le petit Bragi parti à leur rencontre. Et les questions continuent de planer, angoissantes : pourquoi les aliens ont-ils débarqué en Islande ? Comment leur faire face ? Quel espoir est encore permis ? Une seule chose est sûre : plus rien ne sera jamais comme avant. Un deuxième et dernier tome qui nous tient en haleine de la première à la dernière page.

L’avis du bibliothécaire

Et si des aliens débarquaient en Islande ? Combien de personnes pourraient survivre ? Un roman d’horreur jeunesse qui vous tiendra en haleine.
Un roman chaudement conseillé par la bibliothèque de Verviers.

Purge

Publication:

Auteur(s): Sofi Oksanen

Éditeur(s): Stock

Traducteur(s): Sébastien Cagnoli

Résumé :

En 1992, l’union soviétique s’effondre et la population estonienne fête le départ des Russes. Mais la vieille Aliide, elle, redoute les pillages et vit terrée dans sa maison, au fin fond des campagnes. Ainsi, lorsqu’elle trouve Zara dans son jardin, une jeune femme qui semble en grande détresse, elle hésite à lui ouvrir sa porte. Ces deux femmes vont faire connaissance, et un lourd secret de famille va se révéler, en lien avec le passé de l’occupation soviétique et l’amour qu’Aliide a ressenti pour Hans, un résistant. La vieille dame va alors décider de protéger Zara jusqu’au bout, quel qu’en soit le prix.

L’avis du bibliothécaire

Estonie : une tragédie familiale en plein cœur de la fin de l’Union soviétique.
Un coup de cœur du Réseau louviérois de lecture publique.

L’énigme de Flatey

Auteur(s): Viktor Arnar Ingólfsson

Éditeur(s): Seuil

L’avis du bibliothécaire

Quand une petite communauté de pêcheurs de 40 habitants découvre un corps à l’état de squelette, cela perturbe toute le quotidien des habitants de l’île. Un polar historique dans lequel règne la dure loi de l’omerta.
Un roman chaudement conseillé par la bibliothèque de Verviers.

Blizzard

Publication:

Auteur(s): Marie Vingtras

Éditeur(s): Éditions de l'Olivier

Résumé :

Le blizzard fait rage en Alaska. Au cœur de la tempête, un jeune garçon disparaît. Il n’aura fallu que quelques secondes, le temps de refaire ses lacets, pour que Bess lâche la main de l’enfant et le perde de vue. Elle se lance à sa recherche, suivie de près par les rares habitants de ce bout du monde. Une course effrénée contre la mort s’engage alors, où la destinée de chacun, face aux éléments, se dévoile. Avec ce huis clos en pleine nature, Marie Vingtras, d’une écriture incisive, s’attache à l’intimité de ses personnages et, tout en finesse, révèle les tourments de leur âme.

L’avis du bibliothécaire

Ce premier roman est un huis clos étouffant en pleine nature. Une nature si rude qu’il ne faut pas être autochtone pour savoir qu’elle ne fait pas de cadeau. Et pourtant Bess décide de sortir avec l’enfant en pleine tempête… Un récit puissant qui ne laisse personne indemne.
Une recommandation de la bibliothèque de Malmedy.

La femme à 1000°

Publication:

Auteur(s): Hallgrimur Helgason

Éditeur(s): Presses de la Cité

Traducteur(s): Jean-Christophe Salaun

Résumé :

Une octogénaire islandaise atteinte d’un cancer en phase terminale revient sur sa vie en attendant la mort.Car Herra a beaucoup de choses à raconter.

L’avis du bibliothécaire

L’auteur est, à ma connaissance, le seul Islandais traduit dont l’humour noir est la principale marque de fabrique. Notre vieille héroïne est ici vraiment extraordinaire.
Un roman chaudement conseillé par la bibliothèque de Verviers.

Octobre

Publication:

Auteur(s): Søren Sveistrup

Éditeur(s): Albin Michel

Résumé :

Début octobre, dans la banlieue de Copenhague, la police découvre le cadavre d’une femme amputée d’une main. À côté du corps, un petit bonhomme fabriqué à partir de marrons et d’allumettes. Chargés de l’enquête, la jeune inspectrice Naia Thulin et l’inspecteur Mark Hess découvrent vite que cette figurine est porteuse de mystérieuses empreintes : celles de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte. Thulin et Hess explorent toutes les pistes qui leur révèleraient un lien entre la disparition de la fille de la ministre et la victime à la main coupée. Lorsqu’une autre femme est tuée, selon le même mode opératoire, ils comprennent que le cauchemar ne fait que commencer…

L’avis du bibliothécaire

Un petit bonhomme fait de marrons et d’allumettes nous entraîne dans un thriller sensible, l’intrigue se dénoue au fil des pages et nous tient en haleine. Addictif.
Une suggestion de la bibliothèque de Mouscron.

Film, roman, BD, série... Nous sommes là pour vous aider à choisir.

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