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Dans le cadre de mon TFE en communication je suis à la recherche de documentation concernant « la liberté de choquer via une programmation culturelle » (théâtres, centres culturels, cinéma, expositions,…). Je cherche à savoir notamment s’il y a des limites, lesquelles et comment sont-elles appliquées.Mon sujet reste volontairement vaste pour l’instant afin de récolter un maximum d’informations avant de choisir un certain angle. Les deux aspects m’intéressent mais principalement les articles, livres, etc sur le phénomène. S’il existe des études réalisées sur ce sujet , cela m’intéressent également. Merci

Réponse apportée le 01/20/2014  par PARIS Bpi – Actualité, Art moderne, Art contemporain, Presse

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Identifiant pérenne de la notice : http://www.sudoc.fr/171685253>
Titre : Figures de la transgression [Texte imprimé] / Victor I. Stoichita

Identifiant pérenne de la notice : http://www.sudoc.fr/117815802>
Titre : Transgression et institution, un paradoxe artistique [Ressource électronique] : 1980-2000 / par Maxence Alcalde ; sous la direction de M. François Soulages

Identifiant pérenne de la notice : http://www.sudoc.fr/159917352>
Titre : The artist’s body [Texte imprimé] / edited by Tracey Warr ; [survey by Amelia Jones]

Identifiant pérenne de la notice : http://www.sudoc.fr/080010148>
Titre : La provocation, une dimension de l’art contemporain, XIXe-XXe siècles [Texte imprimé] / sous la direction d’Eric Darragon ; avec la collaboration de Marianne Jakobi

Identifiant pérenne de la notice : http://www.sudoc.fr/149293771>

Titre : La provocation expérimentale [Ressource électronique] : étude consacrée à la provocation expérimentale dans l’art et à son usage dans une pratique artistique / Romain Louvel ; sous la direction de Leszek Brogowski

Identifiant pérenne de la notice : http://www.sudoc.fr/149244134>
Titre : Entre corps plastique et violence de l’esthétique [Texte imprimé] : la féminité artistique des années 1970 à nos jours / Marie Picard ; sous la direction de Georges Bloess

Identifiant pérenne de la notice : http://www.sudoc.fr/146730860>
Titre : L’obscénité et les limites du voir [Texte imprimé] / Céline Cadaureille ; sous la direction de Dominique Clevenot

CAPPADOCE (CAtalogue PArtagé de la DOcumentation en administration CEntrale au Ministère de la culture et de la communication)
http://capadoce.ext.culture.fr/capadoci/jsp/system/win_main.jsp>

Type : Ouvrage ou n° spécial de périodique
Titre : Leçons de scandale : Un très beau sujet de thèse
Auteur(s) : Labelle-Rojoux, Arnaud
Editeur : Crisnée , Editions Yellow Now , 2000
Année : 2000
Description : 173 , N&B
Langue : Français
Pays : France
Note : Ecrit critique
Domaines : Arts plastiques
Indexation matière : Labelle-Rojoux, Arnaud Voir la notice liée
ISBN : 2-87340-147-8

Type : Articles ou extraits
Titre : La norme et la transgression : remarques sur la notion de provocation en histoire culturelle
Auteur(s) : Sirinelli, Jean-Francois
Année : 2007
Description : [8] p.
Langue : Français
Pays : France
Dans : Vingtième siècle – Périodiques – 10 Notice liée et état des collections
n° 93, p. 7-14 2007-01/03
Domaines : Cultures
Indexation matière : histoire / culture / lien social /
Résumé : Si le thème de la provocation est essentiel pour l’histoire culturelle (qui étudie les productions élaborées de l’esprit humain, et les représentations collectives et les imaginaires sociaux) et d’une définition « facile », en revanche, la notion de transgression est plus difficile à saisir, car elle induit la notion de norme culturelle, et diverse selon que l’on examine les productions littéraires-artistiques ou les représentations et les imaginaires. Qui fixe la norme en art ou en littérature ? Où commence la transgression ? Par rapport à quel type de normes celle-ci s’effectue-t-elle ? Trois exemples portant sur les années 1960 (la minijupe, les Elucubrations d’Antoine…) montrent la difficulté d’une réponse unique. L’historien culturel doit se poser un certain nombre de questions : pourquoi provoque-t-on ? Quel est, pour les provocateurs, l’effet escompté ? Peut-on provoquer dans le cadre de la culture de masse ? Mais « attirer le chaland ne relève en aucun cas de la transgression ». « Toute démarche d’histoire culturelle portant sur le thème de la provocation débouche plus largement sur la question du lien social au sein d’un groupe humain donné, et sur les éléments qui le tissent et le fortifient ou, au contraire, le distendent et le rompent ».

Type : Collections
Titre : Provocation
Editeur : Paris , Desclée de Brouwer , 1998-
Année : 1998
Langue : Français
Pays : France
Périodicité : Collection
Autre(s) titre(s) : Provocation
ISSN : 1287-0072

Type : Articles ou extraits
Titre : Provocation et art contemporain.
Auteur(s) : Bourriaud, Nicolas
Année : 1999
Langue : Français
Dans : Beaux-arts magazine – 198 – Périodiques – 10 Notice liée et état des collections
182, p. 66-75 1999-07-01
Domaines : Arts plastiques
Indexation matière : art contemporain / recherche création art plastique / liberté expression /
Résumé : La provocation en art a-t-elle sa raison d’être ? Moins choquants que leurs prédécesseurs, mais peut-être plus provocants, les artistes d’aujourd’hui investissent le champ de l’économie, du politique et du social.

CAIRN portail de revues de sciences humaines
Nathalie Heinich « L’art du scandale », Politix 3/2005 (n° 71 ), p. 121-136.
URL : www.cairn.info/revue-politix-2005-3-page-121.htm.
DOI : 10.3917/pox.071.0121.
Résumé : La typologie des scandales dans les arts plastiques est fonction des différents paradigmes artistiques en vigueur – art classique, art moderne, art contemporain –, qui commandent les normes et les valeurs de sens commun. Ces paradigmes sont eux-mêmes fonction des régimes de valorisation : si le « régime de communauté » limite les possibilités de transgression, il les rend vulnérables à l’indignation scandalisée, tandis que le « régime de singularité », en normalisant les transgressions, les rend à la fois plus fréquentes et moins susceptibles de faire scandale – d’où la fréquence relative des « affaires » en art moderne et, surtout, contemporain. L’examen de quelques cas particulièrement significatifs permet de spécifier à la fois les conditions du scandale – types de transgressions, de valeurs transgressées, de contextes historiques et spatiaux – et ses effets. Ceux-ci ne peuvent toutefois se comprendre qu’en abandonnant les perspectives fonctionnaliste ou stratégique au profit d’une sociologie descriptive, pragmatique et empirique des valeurs

Jean Maisonneuve « D’un art problématique au risque de la beauté », Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels 18/2002 (Vol. VIII), p. 87-100.
URL : www.cairn.info/revue-internationale-de-psychosociologie-2002-18-page-87.htm.
DOI : 10.3917/rips.018.0087.
On examine d’abord certains caractères propres à l’art contemporain, à partir de la triade reliant l’artiste (notamment le plasticien), l’œuvre (dite d’art) et le public (les « regardeurs ») ; avec leurs interactions plus ou moins filtrées. Déconstruction, minimalisme, provocation d’une part ; déception ou rejet d’autre part. Toutes démarches à décrypter.
Parallèlement, s’affirmait une proscription virulente de tout souci de beauté, taxé d’académisme puis d’arbitraire par une suite d’avant-garde et de critiques d’art. Or, le mot et la valeur viennent de réapparaître çà et là dans des expositions et des textes. Régression, ringardise ? Signes de carence ou de quête ? On s’interroge sur le sens d’une négation et d’une résurgence, sur un terme magnifié ou controversé lié à une expérience irrécusable. L’art prochain va-t-il s’ouvrir au risque de la beauté…

Bruno Péquignot « De la performance dans les arts », Communications 1/2013 (n° 92), p. 9-20.
URL : www.cairn.info/revue-communications-2013-1-page-9.htm.
DOI : 10.3917/commu.092.0009.

Un bon demi-siècle après l’apparition du mot « performance » pour désigner une pratique artistique, plastique d’abord puis très rapidement interdisciplinaire, cet article cherche à en présenter les attendus (critique du système marchand capitaliste, sortie du système des galeries) et ses résultats aujourd’hui, avec par exemple son entrée au musée. Sont convoquées pour cela les principales catégories qui caractérisent ce mouvement : l’éphémère, le rapport au politique, la nécessité du nouveau, la relation au corps, au temps et à l’espace.

Cordialement,
Eurêkoi – Bpi (Bibliothèque publique d’information)
http://www.bpi.fr
www.Eurêkoi.org